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" TRUTH ALWAYS COMES TO LIGHT " ft. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Près d'une semaine avait passé. Une semaine où tu n'avais ni croisé Timothy, ni tenté de le chercher. Le lendemain de votre soirée, tes amis t'avaient posé mille et une questions, tentant de t'arracher des informations croustillantes. Forcément, le gars qui t'avait grillé main dans la main avec Timothy Buckley avait vendu la mèche à tous tes potes qui essayaient donc maladroitement de savoir ce qu'il s'était passé dans son bureau. T'étais resté muet comme une carpe, ce qui n'avait fait qu'attiser leur curiosité. Aujourd'hui, ils avaient donc tiré une conclusion : « Donc, tu as perdu ton pari. » T'avais simplement hoché les épaules avant de répondre. « Ça arrive même aux plus grands. » Malheureusement, tes amis te connaissaient assez bien pour savoir que tu n'étais pas du genre à accepter la défaite aussi facilement. Du coup, des doutes naissaient de leurs esprits mal placés tandis que toi, la culpabilité continuait de te ronger. Suite à vos ébats passionnés, tu étais parti sans un mot, presque sans un regard. Tu avais eu un mal fou à t'endormir cette nuit-là. Tu n'avais eu de cesse de recompter, encore et encore, le nombre de grains de beauté que Timothy avait sur le visage. Et ça t'avait rendu fou. Tu ne comprenais décidément pas quel sort t'avait lancé Timothy pour que tu agisses de la sorte. Tu aurais du t'endormir comme une masse, comme d'habitude. Tu étais un habitué des plans d'un soir et jamais tu n'avais été aussi perturbé. Les jours ayant passés, tu te décides enfin à aller prendre de ses nouvelles. Comme ça, par simple curiosité, te dis-tu. En réalité, tu sais que c'est la simple envie de le revoir qui te pousse à aller frapper à sa chambre d'étudiant. Tu n'es pas un habitué de la résidence des lambdas et lorsque tu rentres dans le hall de la confrérie, certains te regardent de travers comme si ta place n'est certainement pas parmi eux. Ils ont sans doute raison alors tu continues ton chemin jusqu'à trouver la chambre de Timothy. Les sourcils froncés, le cerveau rempli de pensées, tu oses finalement frapper.

Tu pianotais sur ton clavier d'ordinateur d'un air concentré, tentant de t'échapper de ce monde réel, trop brute, trop crade pour t'installer dans ce virtuel qui te paraissait si doux en ce moment. Cette semaine avait été affreuse pour toi, depuis ce soir où tu avais perdu ta virginité, volée par Gus. Si le lendemain, tu t'étais senti à l'aise, avec un excès de confiance, prêt à péter le feu. Tu avais été vite rattrapé par la réalité qui refusait de te laisser tranquille. Si durant l'après-midi d'un des jours de la semaine, tu t'étais installé à l'ombre d'un arbre, un livre à la main pour te détendre, tu avais été rapidement dérangé. Un jeune homme, un ami de de Gus probablement qui t'avait abordé, l'air hautain et moqueur. « Alors, comme ça, Gus a bien gagné son pari, il t'a baisé. Aha, je ne l'aurais jamais cru. » Si tu lui avais adressé un regard méprisant, tu étais devenu si vite blanc, les joues devenant cramoisies et les larmes qui commençaient à venir. Sans hésitation, tu t'étais relevé avec maladresse, fermant ton livre pour t'enfuir. Tu ne préférais même pas lui répondre car il avait raison sur les faits, il savait. Gus lui avait dit, il lui avait tout dit. Qu'il avait couché avec toi seulement pour un pari. T'avais pensé ça réel, vrai et pur. Beau naïf, quel con tu étais. Tu avais donné ta virginité au premier con qui était passé par là pour te parler. Et maintenant, tu allais rapidement devenir la risée de tout Columbus. Depuis, tu avais évité toute sortie, préférant te terrer dans la chambre où tu passais tes soirées à jouer à des jeux en ligne. Tu ne voulais plus y penser. Et là, trop concentré dans ton travail, tu entends frapper à la porte. Tu ne savais pas qui c'est que ça pourrait être. Julian n'était pas là de la journée, et les seules visites qui se produisaient étaient pour lui. Timide, tu finis cependant par briser le contact avec ton clavier pour enfin ouvrir. Paf, Gus était derrière la porte. Entre la surprise et la haine, tu ne dis aucun mot, le contemplant avec mépris et tristesse. « Casses-toi. » finis-tu par dire, vivement, te retirant pour fermer brusquement la porte derrière. Tu t'effondrais derrière elle, les larmes te venant de nouveau aux yeux et s'écoulant sur tes joues. Tu savais qu'il ne partirais pas, tu t'en doutais amèrement. Cependant, tu ne savais pas si tu avais envie d'entretenir une conversation avec lui. « Je suis sérieux, casses-toi, va baiser quelqu'un d'autre pour gagner l'un de tes paris. » dis-tu, ayant ouvert la porte pour le regarder d'un air faussement convaincant et méchant.

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" TRUTH ALWAYS COMES TO LIGHT " ft. Timothy Buckley
Tu attends longtemps avant que Timothy ne vienne t'ouvrir la porte. T'étais presque prêt à repartir pensant qu'il était absent. Finalement, la porte s'entrouvre, te laissant découvrir le visage de ton amant d'un soir. Comme t'es pas idiot, t'as pas besoin qu'il parle pour que tu comprennes qu'il y a quelque chose qui cloche. Ton regard s'attarde un instant sur les grains de beauté de sa joue droite et tes lèvres se pincent. Tu ne sais pas pourquoi ce détail insignifiant t'obsède, tout d'un coup. Pourtant, ça t'obsède vraiment. T'as comme envie de glisser tes lèvres dessus encore une fois. Ton cœur bat fort dans ta poitrine et tu te sens con. « Casses-toi. » Ça te frappe en plein cœur. Tu ne comprends pas pourquoi tu mérites un tel accueil. Et ça t'emmerde qu'il se permette de te dire un truc pareil. L'un de tes sourcils se soulève d'étonnement tandis qu'il referme violemment la porte. Tu n'as pas le temps d'essayer de l'en empêcher. Tu restes comme un con face à une porte fermée et tes poings se serrent d'énervement. T'aimes pas qu'on te traite ainsi. Alors que tu t'apprêtes à frapper à nouveau à la porte de la chambre de Timothy, celle-ci se ré-ouvre sur le jeune homme. Tu devines des yeux embués de larmes et t'as comme la sensation de savoir de quoi il s'agit. Un sentiment d'appréhension naît dans ta gorge et ce dernier est validé lorsqu'il te dit de manière abrupte : « Je suis sérieux, casses-toi, va baiser quelqu'un d'autre pour gagner l'un de tes paris. » Les bras t'en tombent. Comment avait-il pu savoir que tu avais parié sur le fait de le mettre dans ton lit ? Tu essayes de ne pas avoir l'air trop soufflé par sa réflexion. Malheureusement, ton visage d'habitude si confiant trahit ta déception. Bien sûr, tu n'écoutes pas un instant son conseil menaçant. Tu ne t'en vas pas. Tu restes là, face à lui, les pieds ancrés sur le sol. « Laisse-moi entrer, Tim. » T'es sans doute optimiste en pensant qu'il te laissera pénétrer dans sa chambre. Tu fais un pas vers lui, comme pour l'inciter à te laisser entrer. « Je peux t'expliquer. » Ou pas. T'es plus certain de rien, là.

Tu étais tristement en colère. Puis, tu le contemples, et ta rage s'ébouillante, tu ne peux plus penser à ce qu'il t'a fait, tu ne penses uniquement à la blessure violente qu'il a commise. Tu le regardes, les larmes qui coulent sur ton visage, tu n'en as que faire. Il peut en être fier, il pourra le raconter aux autres, penses-tu. Ce n'est pas comme si tout le monde savait que tu avais fauté, à l'université. Tu veux qu'il parte, tu veux rester tranquille, te coucher, te blottir dans les draps, pleurer silence, seul et isolé, peut-être que Julian saura te réconforter. C'est ce dont tu as besoin, d'être seul. Il te demande de le laisser entrer. Tu arques un sourcil, paraissant encore plus blessé par ce culot qu'il avait, de te demander cela. Il vient à toi, il surenchérit, il veut vraiment que tu le laisses entrer, car il ajoute qu'il peut t'expliquer. Tu le regardes avec méprise, répliquant vivement « M'expliquer quoi ? J'étais personne, bordel, je n'avais pas besoin de toi. Je suis rien à tes yeux, alors pourquoi t'en être pris à moi, hein ? » Tu divagues, tu as un soudain mal de tête. Tu recules, tu sembles intimidé, tu ne sais même pas quoi répondre, tu baisses le regard, tu n'oses d'ailleurs plus le regarder. Ta soudaine force provoquée par l'adrénaline venait de prendre brutalement la fuite. Tu finis par chuter sur ton lit, t'asseyant, le regardant d'un ton assassin et noir. « Je comprends pas. » Tu n'avais pourtant rien de spécial, t'étais invisible, un élève lambda, comme on en trouve par-ci par là, point populaire, ni décrié. Tu étais seulement toi, paumé et invisible aux yeux de tous, certains te remarquaient pour se moquer. Là, tu venais d'être la risée de la moitié de l'université. Le mec facile qui s'est fait baisé par Gus. Tu finis par ajouter, d'un air vaincu. « T'aurais du faire théâtre en tant que parfait comédien. » Tu as perdu de ta colère, parce que tu sembles exténué par cette bataille. Seule la tristesse te submerge.

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" TRUTH ALWAYS COMES TO LIGHT " ft. Timothy Buckley
Tu regardes les larmes qui roulent sur son visage et ça te rend un peu dingue qu'elles coulent par ta faute. T'as envie de supprimer la distance qui vous sépare pour venir les cueillir entre tes doigts et les faire s'envoler loin de son visage. Malheureusement, la distance physique n'est rien comparée à cette barrière invisible qui vient de s'abattre entre vous. Un véritable mur de Berlin qui vous sépare désormais. De toutes façons, il te faut être réaliste, tu n'as rien à faire devant sa porte et tu ne sais même pas ce qui te pousse réellement à venir prendre de ses nouvelles. Et décidément, tu ne comprends pas ce qui te tords le cœur lorsque tu vois ses larmes rouler sur ses joues. T'es pas sensible aux effusions de tristesse, t'es plutôt du genre à te moquer de ceux qui pleurent et laissent leurs émotions sortir aussi facilement. Mais là, ça te touche. Voir Timothy dans un tel état te fait culpabiliser un peu plus encore. Ses paroles ajoutent un peu plus de drame à ce que tu ressens dans la poitrine. Tu restes là à le regarder, les bras ballants, incapable d'être plus loquace. Tu le vois reculer, finir par s'asseoir sur son lit l'air dépité et tu hésites à faire quelques pas dans la pièce. Tu les fais finalement, fermant machinalement la porte derrière vous. Peut-être pour éviter les regards indiscrets et les langues de vipère qui déformeraient très certainement ce qui se passait en cet instant. T'entrouvres les lèvres pour parler mais tu ne sais plus quoi dire. Cette situation te dépasse un peu, finalement. Tu baisses les yeux sur tes chaussures et cherche les mots adéquats sachant très bien que Timothy pouvait se lever à tout instant et te mettre à la porte. Mais tu avais besoin de ce temps pour réfléchir. Juste quelques secondes. « Il n'y a rien à comprendre. » dis-tu simplement avant d'ajouter : « Je suis un connard, c'est tout. » Tu finis par relever les yeux vers lui. Tu te mords l'intérieur de la joue parce que la situation t'angoisse sans que tu comprennes pourquoi. Tu sais que t'es un connard et ça t'a jamais embêté outre mesure jusque là. Jusqu'à Tim. Mais t'es pas certain d'être capable de dire ça à haute voix parce que tu ne l'acceptes pas encore. « Je suis désolé, ok ? Mais je vais pas essayer de me justifier parce que quoi que je dise, tu ne me croiras plus jamais. » Et c'est peut-être ça qui te tue à petit feu.

Tu finis par être bouche bée, plongé dans une totale incompréhension. Comme un choc, comme une découverte d'un état de vie que tu pensais être impossible. Et pourtant,la réalité était là, devant tes yeux, te brusquant au possible, te plongeant dans un désarroi total. Il fallait que tu l'admettes, que tu l'acceptes ainsi. Tu te prenais un coup sur la tête, violemment en entendant ces propos comme quoi aucune explication était présente, que la seule chose qui comptait, à prendre en considération était qu'il demeurait un connard. Ainsi, va la vie. Tu le regardes encore plus abasourdi et choqué, désemparé, comme si tu perdais pied. « Je... T'es sérieux là ? » Il t'énervait encore plus. Si tu étais un de ces bad-boys aux grands muscles, tu lui aurais foutu un crochet du droit dans un de ses yeux afin qu'il hérite d'un sublime cocard. Ses phrases te tuaient, elles avaient le goût d'un amer poignard enfoncé en pleine poitrine. Tu te rendais compte de l'horreur de la situation, de l'horreur qu'incarnait Gus Lannister. « Mais... c'est trop facile, ça ! Rejeter la faute sur moi, alors que t'en as simplement rien à foutre. » Tu te rapprochais de lui, le visage colérique, le fixant dans les yeux. Le regard amer et désarçonné, exprimant ta colère. Tu te contenais, tu semblais rouge de rage. Tu étais un piètre combattant, même si tu avais envie de le frapper avec ardeur. Et tu t'en voulais aussi. D'avoir craqué pour lui, de lui avoir parlé, de lui avoir fait confiance afin qu'il t'entraine dans son lit. Tu attendais sa réponse, tu attendais des excuses, des vraies, tu attendais une réaction. Quelque chose.

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" TRUTH ALWAYS COMES TO LIGHT " ft. Timothy Buckley
T'as les bras ballants, tu n'as pas la force de riposter. Soudain, tu aimerais être plus petit, comme une souris qui peut se cacher dans un trou. Malheureusement, le regard haineux de Timothy glisse sur toi et tu ne peux même pas lui en vouloir. Tu comprends sa déception et dans le fond, tu la partages un peu. Parce que tu te déçois sans doute toi-même. Tu ne comprends plus tes propres réactions. Jamais tu ne te serais senti aussi concerné auparavant. Après tout, Timothy n'était qu'un garçon parmi tant d'autres. Non ? Tu ne savais plus. Ses larmes qui adoucissent ton palpitant, ton envie de courir le réconforter et d'embrasser sa peau si douce te laissent penser qu'il n'est peut-être pas un garçon parmi d'autres. Mais tu ne préfères pas y songer, ce terrain-là ne t'appartient pas et tu as mis tes sentiments en sourdine depuis bien longtemps. Alors oui, tu es sérieux. Tu n'es pas certain de vouloir te justifier. Tandis qu'il se lève et s'approche de toi, tu fais un pas en arrière. Tu n'as pas peur mais tu sens qu'il aurait envie de foutre une bonne droite. Tu la mérites sans doute. Sa dernière phrase te fait finalement réagir. Tu le regardes droit dans les yeux et tes poings se serrent un peu tandis qu'il t'accuse de n'en avoir rien à faire. « Tu m'emmerdes, là. » Ok, ça commence mal. Mais c'est sorti tout seul parce que t'es comme ça, Gus. Tu fais pas dans la dentelle. « Si je m'en foutais réellement, je serais sorti de cette pièce depuis longtemps, ok ? » Tu plonges tes yeux dans les siens, rougis par les larmes. T'as le regard dur. T'es pas sûr qu'il comprenne que c'est parce que tu luttes contre tes démons. « Et c'est sans doute ce que je devrais faire parce que comme je te l'ai déjà dit, tu m'accuseras toujours de jouer la comédie, je me trompe ? Tu veux que je dise que je suis désolé d'avoir agi de la sorte ? Je le suis. Tu ne méritais pas ça. Je pourrais aussi te dire que je n'ai pas toujours joué la comédie, ce soir-là, mais là encore, tu ne me croirais pas. » Tes poings se desserrent doucement et t'as une soudaine envie de sortir de la pièce. T'en as trop dit.  

Tu t'attends à tout, sauf à ça, sauf à ce qu'il te dise que tu l'emmerdes. Si ça pourrait te faire du bien t'entendre ça, que tu empoisonnes une minuscule partie de sa misérable existence, il en est autre. Tu sembles avoir mal, parce que tu aimerais qu'il ressente le contraire sur cet instant, que tu sois dans le côté positif de la chose, que tu lui procures des émotions mélioratives. Il est trop direct, ça te brusque mais tu résistes, tu ne veux pas te montrer intimité. Il semble être sur la défensive, se déchargeant de tout crime pour te les mettre sur le dos, qu'à cause de ton non-changement, tout ce qui suivrait comme excuse ne servirait à rien. Il t'énerve, il t'agace tellement en ce moment même. Qu'attends-tu pour le mettre à la porte ? Peut-être des excuses, des vraies. Bien que ce qu'il voulait dire pouvait marcher comme excuses, tu en voulais des conformes. A y réfléchir plus en profondeur, tu ne savais même pas ce que tu voulais de lui, ni ce que tu attendais. Tu devrais probablement le rayer de ta vie, réapprendre à vivre et à te défendre face aux innombrables moqueries que tu aurais dans les jours prochains. Tu repenses à tout cette flopée de mauvaises ondes qui t'envahit et violemment, tu t'emportes. De tes bras, tu pousses brutalement Gus contre un mur, le plaquant avec force, comme si tu ne contrôlais pas ta force. Tu voulais lui montrer qu'il t'avait fait horriblement mal et qu'il devait payer. Tu te vengerais, tu ne savais pas comment mais il fallait remédier au mal par le mal. Tu le regardes d'un air mauvais, puis te te décides finalement, avec spontanéité, comme une pulsion, à l'embrasser pendant quelques secondes. Tu ressens de nouveau le goût de ses lèvres qui avaient paru si bonnes une semaine auparavant. Puis, tu les relâches, tu t'éloignes et tu n'oses plus le regarder. Tu demeures mal, tu ne sais même pas à quoi penser. Tu ne sais plus si tu lui en veux, ce que tu devrais ressentir face à lui, ce que tu devrais faire. Il avait réussi à te toucher.

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" TRUTH ALWAYS COMES TO LIGHT " ft. Timothy Buckley
Tu sais que tu y vas fort. Tu sais que Timothy n'est pas prêt à t'entendre dire ce genre de choses. Il n'a pas vu cette facette de toi quelques jours plus tôt. Il n'a pas vu ce type impulsif qui serre des dents pour contenir ses instincts les plus profonds. Tu voudrais être capable de sortir de la pièce mais tu restes là, les pieds bloqués sur le sol de sa chambre étudiante. Tu le regardes avec une insistance intimidante et bien qu'il ne laisse rien paraître, tu sais qu'il doit être mal à l'aise. Cependant, bien avant que tu n'aies pu réaliser, ses deux mains se posent violemment sur ton torse pour te faire rencontrer le mur glacial. Ton dos souffre sous cette sentence mais tu sais que tu l'as mérité. Puis finalement, cette douleur n'est que superficielle comparée à celle que tu ressens au plus profond de toi. C'est le bordel dans ta tête, Gus. Plus t'en prend conscience, plus tu perds contenance, plus tu te ramollis et plus tu te fais avoir. Auparavant, t'aurais remarqué en deux secondes qu'il allait te plaquer contre un mur et t'aurais fait en sorte que ça n'arrive pas. Pourtant, là, tu baisses les armes et tu te laisses faire. Tu le sens proche de toi et tu retiens ta respiration une demi-seconde tandis que tu observes ses traits. Putain, il est en train de te rendre dingue, c'est pas possible. Tandis que tes yeux voguent doucement jusqu'à ses lèvres, il semble avoir la même soudaine envie que toi. Il pose ses lèvres sur les tiennes et tu es tellement surpris que tu n'as pas vraiment le temps d'y répondre. C'est brutal et furtif. Un mélange d'instinct animal et d'envie irrépressible. Tu le regardes s'éloigner, presque à regret. Tu décolles ton dos du mur et tu remets un peu ton tee-shirt en place. Tu te passes une main dans la nuque, un peu gêné. « Je vais partir. » souffles-tu. « On est en train de tourner dingues, là. » C'est la première fois que t'exprimes plus ou moins clairement ce que tu ressens. Parce que oui, t'es en train de virer dingue. Tu ne sais pas réellement ce qu'il te prend. Tu ne comprends pas quel sort t'a lancé Timothy pour que tu agisses ainsi avec lui.

Tu t'étais éloigné, t'asseyant de nouveau sur le lit. Le fixant du coin de l’œil, il posa une main sur son propre cou, le caressant avec tendresse. Il n'osait plus le regarder dans le blanc de l’œil, sa respiration s'était brusquement accélérée. Gus t'avoue qu'il veut partir. Il surenchérit l'instant d'après en disant que vous étiez en train de devenir dingues. A qui la faute ? D'ailleurs, c'est ce que tu lui dis.  « On en est là, à cause de toi. » Tu ne peux t'empêcher, tu veux qu'il ressente le poids de la culpabilité sur ses épaules, qu'il paie d'une bien étrange façon de ce qu'il a fait. Se moquer de toi, te voler ta virginité pour l'exhiber aux autres. Si tu avais commencé par acquiescer ses dires, tu te rendais compte que tu n'avais pas envie qu'il parte. Tes doigts caressent le suçon encore visible que Gus t'avait tatoué sur ton cou. Du coup de l’œil, à la glace, tu pouvais voir la marque encore bien présente. Ce baiser t'avait donné envie de lui.  « Pars pas. » finis-tu par dire. Tu le voulais. Et puis tu réfléchissais, longuement, sans bouger, sans dire que mot. Tu sentais une chaleur dans ton bas-ventre. Et tes pulsion prenaient le dessus. Alors, tu te lèves, tu le regardes toujours avec froideur et tu l'embrasses de nouveau. Tu prends son visage entre tes mains pour un plus long baiser. Tu te vengerais de la sorte, à le prendre dans tes filets puis lorsqu'il sera satisfait, tu l'achèveras, tu le fouteras à la porte. Dent pour dent.  « Tu veux te faire pardonner ? T'en as envie ? Alors prouves me le. » Et te reculant face à lui, tu te débarrasses de ton tee-shirt. Ta première fois datée d'une semaine t'avait laissé d’étranges séquelles et tu sentais que le sexe prenait une place bien trop importante dans ta vie de geek.

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" TRUTH ALWAYS COMES TO LIGHT " ft. Timothy Buckley
Le baiser qu'il t'a offert quelques secondes plus tôt te laisse un goût d'inachevé sur les lèvres. Bien sûr, tu as envie de plus. Tu as encore cette sensation dans ton bas-ventre qui te rend dingue lorsque tu es trop proche de Timothy. D'un autre côté, tu as besoin de partir, de t'éloigner de lui et de cette tentation qu'il représente. Tu sais qu'il est bien plus raisonnable de t'enfuir maintenant. Comme la lâche que tu es. Tu le regardes, assis sur le lit et tu es soudain incapable de bouger. Ton besoin de t'en aller te pousse en arrière tandis que ton désir pour lui te donne envie de le faire basculer sur le matelas. « On en est là, à cause de toi. » Tu sais qu'il ne peut pas avoir plus raison. Tout est de ta faute, comme toujours. Sauf qu'aujourd'hui, la situation te joue des tours et torture ton cerveau. Tu remarques le suçon toujours visible sur son cou et tu fermes les yeux quelques secondes comme pour rassembler tes esprits. Résiste, Gus. Montre que tu peux être un humain évolué parfois. Tu t'apprêtes à tourner les talons mais il se lève d'un bond pour venir s'emparer à nouveau de tes lèvres. Là, tu réponds à ce baiser avec la même force que Timothy. Une sorte de fureur s'empare de vos lèvres et ton corps tout entier se met à brûler de désir pour ce garçon. Une certaine haine se dégage de votre étreinte et étrangement, ça t'excite un peu plus encore. Tu peux déjà sentir ton pantalon devenir étroit et tu te sens con. T'es incapable de faire taire tes pulsions. Surtout lorsqu'il s'agissait de Timothy. Tu l'écoutes te parler, te demander de lui prouver que tu veux te faire pardonner. Puis il finit de t'achever en retirant son tee-shirt. Tes yeux voguent sur ses lignes viriles qui te rendent totalement fou. Tu rêves déjà de faire glisser tes doigts sur cette peau brûlante. Ta mâchoire se serre dans une ultime tentative de résister. Tu te sens faible face à Timothy. Tu n'es qu'une pâle copie de toi-même quand il est près de toi. Tu es loin de ta réputation. Il te ramène à tes instincts les plus primitifs. D'un geste rapide et brutal, tu bloques ses poignets avec tes mains et les relèves un peu sur son torse. Vos corps sont proches désormais et tu sais qu'il peut sentir tout ton désir rien qu'à ta façon de le regarder. « T'attends quoi de moi ? » Le ton de ta voix est mauvaise et tu parles un peu trop fort. « Même si j'te baise là, maintenant, tu me détesteras encore. Ose me dire le contraire. » Tu parles un peu crûment mais t'as plus envie de faire dans la dentelle. « Et alors dans une semaine, je reviens te voir, tu me lances encore ce regard plein de haine et on baise encore. C'est condamné à être comme ça entre nous ? » T'as envie de rajouter que tu ne supporterais pas que ça reste comme ça. Que tu espères autre chose, finalement. Mais t'en es incapable parce que tu n'oses déjà pas te l'avouer à toi-même.

Ton entrevue avec Gus la semaine passée t'avait laissé d'étranges marques. Que tu ne parlais point de suçons, mais plutôt en ton for intérieur. L'envie, le désir, la sensualité. Les premiers jours, tu n'avais pensé qu'à ça, tel un adolescent en pleine période, en proie à ses hormones. Et même si maintenant tu avais du mal à te l'avouer,tu donnerais tout pour revivre ça, surtout s'il s'agissait de Gus. En chaleur. Ça te gênait de te considérer comme ça,tu gardais toujours cette connotation sale du sexe, que c'était vicieux et pervers, tel un domaine tabou. En regardant Gus, tu en avais tellement envie.Tu penses et t'espères même que Gis craque et cède, ce serait ton envie, ton désir là, en ce moment même. Cependant, ce n'est pas exactement ça qui se déroula. D'un ton mauvais, il te questionna sur un avenir plausible entre vous, dans ses esprits. Avais-tu le droit d'avouer que la seule chose que tu attendais de lui était qu'il te fasse l'amour dans ton lit, maintenant ? Décemment pas. Tu grimaces, tu accueilles ses propos avec difficulté et gêne. « Peut-être, oui. Peut-être, non. Jusqu'à preuve du contraire, tu n'es pas devin. » Tu es prêt de nouveau à attaquer, tu serais décidé à le convaincre de céder. Tu te sentais farouchement égoïste mais tu avais envie de lui et toute raison s'était échappée de toi et sûrement que tu te sentirais coupable après coup. « Je suis peut-être trop gentil, mais t'as tes chances de te faire pardonner. A toi de trouver le chemin de la rédemption. » Tu semblais bien paré à lui suggérer que de coucher avec toi serait un de ces moyens à l'obtenir. Pas entièrement, mais ça serait un facteur comme un autre. Tu plonges lentement ta tête dans son cou pour l'embrasser tendrement, y déposant quelques petits baisers. Tu semblais être quelqu'un d'autre, complètement.

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" TRUTH ALWAYS COMES TO LIGHT " ft. Timothy Buckley
Tu croises le regard fiévreux de Timothy et tu peux y lire tout le désir qu'il a pour toi. S'il est assez malin, il peut lire la même chose dans le tien. Tes yeux sont vitreux, emplis d'une excitation toute fraîche pour ce garçon. T'as envie de reconnaître les délices de la chair avec lui. Tu le sens toujours autant sur la défensive, pourtant. Mais cela ne t'empêche de le trouver terriblement désirable et d'avoir du mal à lutter contre ton envie de lui sauter dessus en ce moment même. « Je suis peut-être trop gentil, mais t'as tes chances de te faire pardonner. A toi de trouver le chemin de la rédemption. » Tu le trouves pas trop gentil. Tu penses qu'il se trompe. Au contraire, t'as le sentiment qu'il tente de te piéger. Tu sais que coucher avec lui ne sera en aucun cas une solution. Tu es certain que lorsque son envie aura été comblée, tu t'en prendras à nouveau plein la gueule. C'est tellement évident et ça t'emmerde. T'as envie de lui dire qu'il agit comme un con mais t'en es pas capable. T'as pas envie de le vexer et c'est bien l'une des premières fois où les sentiments d'une autre personne t'importent réellement. Tu le vois comme le tentateur en cet instant et ses lèvres qui viennent se poser dans ton cou en sont la preuve ultime. Tu souffles et fermes les yeux, réprimant difficilement un gémissement de contentement. Le voir prendre de telles initiatives t'excite un peu plus encore. « Je ne coucherais pas avec toi, Timothy. » tentes-tu de te convaincre, d'une voix fébrile, bercée par le désir d'en avoir plus. Ton bas ventre bouillonne, tes neurones aussi. Tu ne te serais pas cru aussi cérébral. Mais en fait, le simple fait d'entendre la voix de Timothy pouvait te rendre dingue. « Arrête. » souffles-tu à demi-mot mais en réalité, ça sonne plus comme un ordre pour qu'il continue. Encore une fois, ton corps montre le contraire de ce que tu dis. N'y tenant plus, tu décides de l'empêcher de te dévorer le cou en le poussant plutôt violemment sur le lit. Tu ne résistes plus, tu en es incapable. Tu n'es qu'une créature facile à tenter. Tu es faible. Tu le regardes ainsi offert sur ce lit d'étudiant et tu avances pour te positionner à califourchon sur Timothy. Tu le regardes droit dans les yeux et emprisonne une nouvelle ses poignets avec tes deux mains pour les positionner au dessus de sa tête. « Je t'ai demandé d'arrêter. » Ta voix est presque menaçante mais tu sais que très vite, tes pulsions prendront le contrôle.

Cependant, si tu pensais Gus faible face à l'appel du désir de la cher, tu te trompais amèrement. Quoique tu dises, quoique tu fasses, rien n'éveillerait le moindre des désirs de Gus. Comme il venait de l'annoncer, je ne coucherais pas avec toi, Timothy., tu te sentais offensé. Arrivait-il vraiment à résister avec toi ? N'avait-il plus aucun désir, ni aucune attraction ? Sûrement que ça te confirmait tes idées de départ, tu n'avais été qu'une relation d'un soir à ses yeux et il était passé à autre chose. En semaine, il avait dû probablement baiser plusieurs hommes. Lorsqu'il enchérit avec un Arrêtes, ton visage se renfrogne, tu sembles agacé et surtout frustré de ne pas avoir réussi à le corrompre. T'apprêtant alors à estomper tout baiser dans son cou, tu fus violemment projeté sur ton lit, arborant alors une expression faciale surprise par ce côté de Gus qui semblait dangereusement étrange à tes yeux. Ne voulant plus faire quoique ce soit. Il continue sa rébellion et se poste devant toi, s'asseyant à califourchon afin d'emprisonner tes poignets. Tu regardes ses yeux qui semblent avoir une lueur tout aussi étrange et dangereuse que son comportement récent. Il répète. Arrêtes. Sa voix menaçante t'intimide tellement que tu restes toujours sous le choc, faible et démuni, au dessous de lui. Qu'avais-tu fait comme connerie pour éveiller cet aspect de lui ? Si pendant quelques secondes, tu le regardais d'un air apeuré, tu reprenais très vite ton expression frustrée et colérique et d'une voix faussement menaçante et dominatrice, tu proclamas « Si tu ne veux rien de moi, barres-toi. BARRES-TOI ! » Tu expirais, tel un soupir. Mais tu ne le laisserais pas impuni de cette façon. « Mais ne reviens jamais. » Il ne couchera plus avec toi,ne te parlera pas, ne te touchera plus, il sera alors effacé de ta vie à jamais. Il n'y aura plus aucun contact, plus aucun lien. Rien. Le néant et pourtant, dans cette situation, vous sembliez plus liés que jamais et tu la sentais la faille, tu pouvais même l'apercevoir. « Au moins, ça prouveras que t'es un menteur parce que tu as envie de moi. » Son pantalon qui devenait subitement serré, légèrement déformé par une bosse. Trahi par son propre corps, par sa propre excitation. Tu souhaitais masquer ce petit rictus qui s'était dessiné sur son visage. Vous sembliez être dans le même état tous les deux, excités et passionnés l'un de l'autre.

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" TRUTH ALWAYS COMES TO LIGHT " ft. Timothy Buckley
Tu vois très vite que cette nouvelle facette que tu dévoiles à Timothy ne lui plaît pas forcément. Tu le sens déstabilisé et sans doute un peu intimidé. Tu ne peux pas lui en vouloir, tu sais que tu peux être parfois un peu brusque dans tes actes et dans tes paroles. Mais c'est lui qui a cherché, tu en es convaincu. Du moins, tu essayes de t'en convaincre. Le mépris qu'il a eu quelques minutes pour toi puis sa façon de te tenter venait de réveiller un sentiment étrange en toi. Bien sûr, tu avais un désir fou pour Timothy. Tout ton corps entier brûlait d'envie de céder à cette tentation que représentait ce jeune homme. D'un côté, tu savais que céder serait logique. Tu étais un prédateur. Mais d'un autre côté, tu ne voulais pas que ça se passe comme ça. Tu ne voulais pas coucher avec Timothy alors qu'il semblait te détester. La contradiction des envies du jeune homme te laissait perplexe. Et tes propres contradictions aussi. Ta langue glisse sur tes lèvres tandis qu'il parle. Tu sais qu'il a raison de A à Z. Tu sais que tu peux partir mais qu'en réalité, t'en as aucune envie. Parce que Timothy Buckley a du te lancer un sort, il n'y a pas d'autre explication plausible. Tes mains bloquent toujours ses poignets avec une certaine force mais tu ne le sens pas se débattre. Ton pantalon est déformé par ton excitation et tu rêves de te dévêtir pour être un peu moins à l'étroit. Ton visage se penche considérablement pour venir effleurer les lèvres de Timothy. Rapidement, un peu férocement même, tu lui voles un baiser. « J'ai trop envie de toi. Il est là, le problème. » T'es en train de tourner dingue. Tu sens sous tes fesses la virilité de Timothy prendre plus d'ampleur dans son pantalon et tu sais que tu ne reculeras plus. « Arrête de me détester, d'accord ? Arrête ça tout de suite. » Tes mains desserrent un peu leur emprise, libérant quasiment les poignets de Timothy. Puis finalement, tu leur rends leur liberté, venant soudainement enlever ton tee shirt, dévoilant ton torse au jeune Buckley.

Gus te domine, il t'attache, t'emprisonne de ses mains et si tu n'aimais pas être dans cette position intimidante, il fallait bien s'avouer qu'elle était aussi d'autant plus excitante. Tu le voulais, rien qu'à toi, sur ton lit, dans tes bras pour une étreinte, un moment où seuls les plaisirs de la chair domineraient. Tu ne penses pas à te débattre, tu sais d'ailleurs aussi que Gus est beaucoup plus combattif que toi et qu'il te maitriserait en un rien de temps. Tu le sens s'approcher de toi et soudainement, d'un ton sauvage, il arrive à te voler un baiser afin de t'avouer qu'il avait un problème, celui d'avoir envie de toi. Il est fou, complètement fou et le pire, c'est que tout ce qu'il dit, tout ce qu'il fait t'excite d'autant plus, accompagnée de cette pression de son corps sur le tien. Il te demande de lui arrêter de lui en vouloir, là, maintenant mais tu arques un sourcil car cette situation t'est complètement incompréhensible. « J-j-je peux pas. Ça se commande pas comme ça. » Il serait encore en colère contre lui, lui en voudrait pour ce qu'il avait fait, parier sur lui, parier sur le fait de prendre sa virginité. Cependant, cette colère enlevait en rien la passion et l'excitation qui enflammait tes yeux et tu contemplais avec délectation un Gus qui s'extirpa de son tee-shirt pour paraitre torse nu. Cette vue t'excitait d'autant plus et tu ne tardas pas à te redresser pour amener le visage de Gus à toi pour un autre baiser, un échange long et multiple. Vous étiez tout deux torses-nus, seulement encore vêtus de vos pantalons. « J'ai tellement envie de toi. » déclaras-tu entre deux baisers, le soufflant sur ses lèvres. Tu le désirais, vraiment, sincèrement et tes sens s'ébouillantaient, ta raison prit la fuite, remplacée par tes pulsion. Tu l'embrasses de nouveau,tu dérives dans son cou dans lequel tu t'attardes pour déposer quelques baisers avant de revenir lécher et mordiller doucement son oreille. « Ne penses plus à rien. Juste à nous, nus, à toi qui me pénètres parce qu'on en a envie tout les deux. » Une de tes mains perverses s'était logé contre le pantalon de gus, à l'endroit où son entrejambe réclamait une certaine liberté.