Quand on tombe au plus bas on ne peut que remonter.

Axelle Heaven Sean.

Une jeune fille sans histoire incroyable. Venant d’une grande famille, ils sont six pour être exact. Deux grands frères jumeaux : Leif et Ash, âgé tous les deux de 24 ans. Il y a aussi Jules âgé de douze ans, puis pour terminer des nouveaux jumeaux, âgé de 6 ans : Mathéo et Matthias. Deux petits enfants qui pourraient être surnommé le ying et le yang, L’un est sage, l’autre est un vrai petit démon. Elle est la seule fille de la famille sans compter sa pauvre mère. Elle est née à Hawaï et elle y a vécu jusqu’à ses trois ans, mais trouvant la vie trop pauvre, son père décida de déménagé en France, trouvant la culture plus généreuse, plus riche, la vie plus intéressante. Apprenant à parler le français rapidement, vivant deux ans en France elle déménagea alors dans l’Ohio quand elle avait seulement cinq ans. Jusque-là encore rien de bien exceptionnel !

Du moins sa vie n’était rien d’exceptionnel jusqu’à l’âge de 13 ans. Son petit frère Jules est d’ailleurs venu au monde quand la jeune fille avait seulement dix ans. Elle était contente d’avoir un nouveau frère, un nouveau petit nouveau dans la famille de Sean, mais pendant que ses deux parents étaient préoccupé avec leur nouveau fils, ils n’avaient pas fait attention que la petite fille se noyer à l’école. Elle ne s’en sortait pas, elle n’avait presque aucun ami, puis l’école n’était pas vraiment son fort. Et ses deux grands frères, âgé l’un et l’autre de 16 ans ne se préoccupaient pas beaucoup d’elle à l’époque et arriva la catastrophe qui changea du tout au tout la vie de la jeune fille.

C’était un soir, en hiver, la nuit étaient tombé assez tôt. Elle avait eu l’étude, étude qu’elle pratiquait tous les mardi soir pour essayer de remonter ses notes, donc elle terminait les cours tard : environs dix neuve heure. Et il y avait ce garçon,  Théodore. 17 ans, redoublant, rebelle, mauvais bref. Il était très proche à l’égard de Axelle mais qui ne s’intéressait pas du tout à lui, il la suivit ce soir-là. Axelle prenait toujours un chemin sombre, une petite ruelle peu fréquenter, c’était un vrai raccourci pour elle. Mais si elle avait su, elle serait passée par le boulevard principal. Il vint la plaquer avec violence contre le muret, la pauvre n’ayant à cette époque aucun force, n’arrivait pas à se défaire de son emprise. Elle tentait tant bien que mal de se débattre, mais il était fort et lui faisait mal. Lui déchirant son chemisier blanc, elle se retrouva en sous vêtement rapidement sans qu’elle puisse dire ou faire quoi que ce soit. Seul son cri strident pour se faire entendre dans ce cauchemar.

Quelques années après.

Trois ans après son viol, la jeune fille c’était très renfermé sur elle-même, devenu une vraie âme solitaire, elle c’était mise au sport : à la boxe. Elle avait donc désormais seize ans, plus ses années passées et malgré le souvenir de cette soirée restait gravé dans sa mémoire et elle en pleurait très régulièrement. Elle avait quand même la tête haute et forte face aux autres mais en réalité elle ne l’était pas, elle était brisée et elle n’approchait plus aucuns garçons. Ses deux grands frères étaient devenu très protecteur en vers elle, mais la jeune fille ne cessait de les repoussés les critiquant de ne jamais avoir été présent pour elle plus jeune. Il y a eu dans la même année les deux petits derniers et se fut un an plus tard que son père partit.

Il avait déménagé un an plus tard, sans explication rien. Il était partit. Disparut avec une nouvelle femme. Sa mère se retrouva alors dans un véritable merdier, elle ne travaillait pas et n’avait que peu d’économie. Lui laissant sur les bras six gosses, dont deux bébés d’un an seulement. Heureusement, les deux frères de dix-neuf ans avaient quitté l’école pour pouvoir venir en aide financièrement à leur mère. La jeune fille essayait tant bien que mal, de l’aider avec l’éducation des deux jumeaux mais ce n’était pas facile. Elle rentra l’année d’après dans l’université de Bucket. On lui proposa de nombreuse fois d’entrée dans une confrérie mais la jeune femme ne se retrouvait dans aucune des confréries alors elle resta simplement : elle-même.