PICCOLO PENE E PICCOLI SENI

T’es collé. Colléééé. T’as pas été collé depuis tellement longtemps et il faut que tu el sois avec cette fille là. Cette alpha, Bambi Burton. Tu la détestes, mais genre vraiment. Tu pourrais lui arracher les yeux pour les bouffer en apéro toast. Mais en même temps depuis quelques temps elle t’intrigue comme jamais, depuis mardi à vrai dire. Depuis cette épisode dans la douche des vestiaires.. C’était.. étrange et.. étrange. Y’a pas d’autre mot. Juste étrange. En attendant t’es toujours assis loin d’elle, au fond de la salle vide, ce vendredi soir, tu joues avec ton crayon entre tes doigts en manquant de le faire tomber toutes les deux secondes. Puis d’un coup tu décides de te lever et casser ce silence morbide. J’ai faim. Reste la si tu veux, moi j’me tire. T’as passé la porte de la salle en faisant gaffe de pas croiser le surveillant censé vous surveiller mais qui a préféré aller aux p’tits coin depuis plus d’une demi heure. Bon tu viens ? Tu fais signe à Burton pour qu’elle s’approche de toi, si jamais elle veut venir. Tu vas pas l’attendre. Tu passes la porte en te faufilant doucement dans le log couloir qui mène au restaurant et aux cuisines. T’as poussé la porte de la cuisine en allumant le gros bouton les lumières. Parfaaaait !

Etait-ce étrange d’avouer que tu attendais les heures de colle de la soirée pour le retrouver ? Oui, complètement. Pourtant, depuis trois jours, tu avais hâte que la journée se termine, qu’il soit dix-sept heures pour rejoindre la salle de colle et passer deux heures en sa compagnie. Mardi, vous étiez quatre. Mercredi, trois. Hier, six. Et ce soir, vous n’étiez que tous les deux. Et même si vous ne vous parliez pas, tu te surprenais à lui lancer quelques regards discrets derrière ton épaule, attendant que les minutes s’égrainent. J’ai faim. Reste la si tu veux, moi j’me tire. lança Alexandre en se levant subitement de sa chaise, te faisant sursauter. On a pas l’droit.. murmures-tu en secouant la tête sans le quitter des yeux alors qu’il était déjà dans l’encadrement de la porte. Bon tu viens ? demande-t-il avant de disparaître dans le couloir. Oh lala, si le pion revient à ce moment là.. Tu te lèves doucement de ta chaise, laissant tes affaires en plan dans la salle, et sors dans le couloir. Alex est déjà à l’autre bout, non loin de l’entrée de la cafet. Il est bientôt dix-neuf heures, tout est fermé à cette heure-là. Tu le suis sans dire un mot, sur la pointe des pieds, au cas où votre surveillant soit dans les couloirs, à draguer une dame de nettoyage. On sait jamais. Parfaaaait ! La lumière s’était allumée dans les cuisines de la cafeteria. Tu t’avances un peu pour refermer la porte derrière toi. Tu sais que si on s’fait chopper ici, on s’reprend une semaine de colle, hein ? Et l’idée n’était pas désagréable. Passer du temps avec Rosenbach. Oh, Dio mio. C’est Rosenbach quoi !

PICCOLO PENE E PICCOLI SENI

T’aimes pas rester inactif, dans un truc aussi con qu’une salle de cours en plus de ça. Il te faut bouger pour éviter de laisser ton corps s’atrophier et devenir aussi mou que le corps d’un alpha en règle générale. Tu décides de te lever, comme ça d’u coup, sans demander permission à qui que ce soit parce que après tout y’a pas le surveillant censé vous surveiller alors.. On s’en fou non ? T’embarques même Bambi dans ton délire, si elle le veut ou non remarque, tu la forcé en rien. Tes pieds qui imite ceux d’une p’tite sourie qui se fait discrète dans les longs couloirs du bâtiment. T’arrives enfin aux cuisines après avoir flairé l’odeur de la bouffe prête pour le demain. Tu sais que si on s’fait chopper ici, on s’reprend une semaine de colle, hein ? On sera même peut être exclus qui sait ? Tu t’es arrêté de marcher en te retournant vers elle un visage tout fier prêt à débiter ta vérité vraie. Non enfaite tu auras des problèmes parce que moi mon père paye trop pour ce campus. T’as levé les épaules suivit d’un petit : hééé. En gros, t’as raison c’est tout. Tes au centre de la salle autour des p’tits panier de tomates, de fruits, de légumes.. Pleins de truc quoi. Sinon y’a pas des gâteaux ?

On sera même peut être exclus qui sait ? Parce que c’est censé te rassurer, justement ? Tu peux pas te faire exclure de cette université. Déjà que tu n’aurais pas dû y être.. oui oui, ton admission était une erreur du directeur lors de l’entretient. Tu peux être fatigante quand tu t’y mets et ça n’avait pas loupé avec le directeur qui, tellement pressé d’en finir, s’était trompé de tempo et avait accolé la mention « accordé » sur ton dossier. Le plus beau jour de ta vie. J’retourne dans la salle. Fait toi virer si tu veux, mais moi j’en ai pas envie. Et à ce moment-là, il tourne la tête, tout sourire. Non enfaite tu auras des problèmes parce que moi mon père paye trop pour ce campus. Et toi, tes parents payaient juste ce qu’il fallait. Avec un peu de rabais parce que tes parents.. et bien c’étaient tes parents : tous deux anciens sportifs de l’université. Crois moi que si j’me fais chopper, tu plonges avec moi Rosenbach ! l’avertis-tu en t’approchant de lui. Oui, tu restais finalement. Tu n’avais pas envie d’être loin de lui, pour dire vrai. C’était horrible. Sinon y’a pas des gâteaux ? Tu regardes les légumes étalés sur le plan de travail. Ils mettent pas ça dans le garde mangé ? Erg. Tu avances un peu dans la cuisine, cherchant des gâteaux, en vain. Mais tu attrapes un sachet de farine, un de sucre et une boîte d’œuf et sors ta tête de derrière une étagère pour regarder Alexandre, tout sourire. Nop, y’en a pas. Mais on peut toujours s’en faire. Les mugcakes, tu connais ? dis-tu en posant les ingrédients sur le plan de travail avant de partir à la recherche de beurre et de chocolat. Essaye de voir si tu trouves du beurre dans les frigo. Je m’occupe du chocolat.

PICCOLO PENE E PICCOLI SENI

J’retourne dans la salle. Fait toi virer si tu veux, mais moi j’en ai pas envie. Elle est pas marrante comme fille.. C’est vrai non ? Pourquoi vous pourrez vous faire virer alors que y’a personne pour vous prendre. Pas vu pas prit hein. Puis tu l’a pas pas forcé à te suivr,e tu veux juste partir toi, après c’est comme elle veut. Crois moi que si j’me fais chopper, tu plonges avec moi Rosenbach ! Ton père n’a qu’a sortir un gros chèque et le tour est réglé. C’est la société de maintenant non ? On paye, on réussit.. Dure hein ? Pratique parfois. Chiant des fois.. Elle choppe deux trois trucs dans un des placards pendant que toi tu feuilles pour trouver autre chose que des poireaux et des brocolis. Nop, y’en a pas. Mais on peut toujours s’en faire. Les mugcakes, tu connais ? Des mugcake ? Tu l’a regarde étaler ses trucs sur le plan de travail assez grand, tu sais pas trop ce que c’est mais.. Pourquoi pas. Ca semble être autant un gâteau que ce que tu cherches en vain après tout. Tu viens te mettre à coté d’elle pour essayer de comprendre comment on fait un gâteau façons Bambi. Essaye de voir si tu trouves du beurre dans les frigo. Je m’occupe du chocolat. Okéé.. t’as bougé jusqu’au frigo pour choper la grosse plaquette de beurre. Et du chocolat ?? Tu te stoppes pour réfléchir trente secondes sur ou pourrait se trouver le chocolat. C’est obligé le chocolat ? Tu t’avances vers le plan de travail en glissant ta main dans le sac de farine pour en jeter sur Bambi. BAMBICAAAAAKE ! A croire que les batailles de bouffe ca va devenir ton truc. HOOO RIGOLE. Ca aurait pu être un oeeeuf.

Un mugcake. T’allais faire un mugcake. Y’avait tout ce qu’il fallait pour ça. Un mug, un microondes, quelques ingrédients, une minute et hop, le tour est joué. Tu avais donné les directives à Alexandre lui demandant le beurre pendant que tu t’occupais du chocolat. Okéé. Tu le quittes des yeux pour commencer à ouvrir chaque placard à la recherche de chocolat. Blanc, de préférence. Ou au lait. Mais pas noir, c’était pas bon, beurk. Un placard, puis deux, un troisième.. bon sang ! C’est obligé le chocolat ? Tu reviens vers le plan de travail et ouvre les tiroirs juste en dessous, peut-être qu’il sera là, ce chocolat. Non. Puis j’le trouve pas. On peut prendre un yaourt sinon.. tu peux aller en cher.. HAN ! Tu t’étais relevé pour lui faire face et au même moment, tu t’étais pris une poignée de farine dans la visage. Cazzo ! BAMBICAAAAAKE ! La farine te chatouille le nez et te provoque un petit éternuement, envoyant de la farine un peu partout autour de toi. ALEX ! Ma.. ma.. perche ? Stai stupido ? T’attrapes une bouteille de lait posée là, l’ouvre en envoie le contenu sur Alex. ALAITXENDRE ! lâches-tu en explosant de rire en voyant les gouttes de lait perler sur son visage.

PICCOLO PENE E PICCOLI SENI

Vous ne trouvez pas le chocolat.. Avec un peu de malchance ce sot les cuisiniers qui mange tout la journée. Genre de vrai morfale.. Non. Puis j’le trouve pas. On peut prendre un yaourt sinon.. tu peux aller en cher.. HAN ! Avec du yaourt ? Tu tique une grimaces sur ton beau visage de mâle.. Du yaourt dans un gâteau ? C’est étrange, surtout dans un mugcake.  Non ? Encore elle t’aurais dit de trouver du Nutella.. Un truc comme ça ! Mais avant d’aller chercher quoi que ce soit tu lui à juste envoyer d’la farine sur elle, une grosse poignet qui est retombée en petite poussière sur elle. Toi tu marres, tout seule bien sûr. Surtout quand elle éternue et que tout s’envole ! ALAITXENDRE ! T’as même pas eu le temps de te protéger, de capter quoi que ce soit que tu t’es retrouvé mouillé de laaaait. T’attires le laitage, c’pas possible. T’essuies tes yeux, vulgairement, le visage encore plus blanc que d’habitudes. Ah ouais ? Comprenez : tu viens de me déclarer la guerre. T’as pris un œuf pour lui scratcher sur la tête. Dans les cheveux encore ! Puis t’es partis en accélérant le pas mais.. T’es tombé. BOOUUM. Sur le cul, à cause du lait. Comme un gros caca visqueux. Hoooo ! Ton coccyx !

Ah ouais ? OUAIS ! Tu lui avais envoyé du lait à la figure et tu étais trop fière de toi, au point où tu en étais morte de rire, vraiment. Mais qui rira bien rira le dernier comme on dit. Et tu n’échappais pas à cette règle. En deux temps trois mouvements, tu te retrouves avec un œuf dégoulinant sur tes cheveux farineux. Il manquait plus que la panure et t’étais prête à paner ! Génial ! Tu t’essuie d’un revers de la main le jaune qui coule sur ton visage et attrape ce qu’il t’attrape sous la main. Deux tomates. Parfait. Mais Alex’ s’en va en courant, zut ! Mais quelle chance, il glisse et s’étale par terre. Hoooo ! Qu’il ai mal ou pas, tu t’en fiches. Ce que tu veux, c’est ta revanche. Tu t’accalifourchonnes sur lui, un grand sourire sur tes lèvres blanches de farine. Alors Rosenbach, on perd son équilibre ? Tes genoux trempent dans le lait perdu sur le sol. Tu devais être dans un de ces états.. pfiou ! Les deux tomates que tu as dans les mains, tu les écrases sur le front du Bêta et étales la pulpe dans ses cheveux. Oh oui, ses cheveux ! C'est dingue, la couleur alpha te va à ravir ! dis-tu en riant de nouveau.

PICCOLO PENE E PICCOLI SENI

T’es tombé, hop, boom. Par terre ! Sur le cul, sur tes fesses de mec sexy. Su r tes belles fesses musclées. T’as envie de hurler en pensant au bleu dégelasse que tu vas avoir mais tu préfères te taire, ca vaut mieux pour toi. La blondasse à posé son gros cul flasque sur tes jambes pour tomber en face de toi, et bien sûre elle manque pas de se foutre de ta gueule, ca aurait été étonnant. Alors Rosenbach, on perd son équilibre ? Tu sens un truc visqueux couler dans ton cou, un truc sur ta tête, tes cheveux.. [i]Baah. C'est dingue, la couleur alpha te va à ravir ! Tu t’mets à rire en passant tes mains dans tes cheveux tomaté. Cette fille t’énerve. Tu te redresse pour prendre Bambi par la taille, t’es bras autour de celle ci tu sers fermement pour l’empêcher de bouger. Ahouais ? Tu récupères un peu du lait mélangé à la farine et l’œuf par terre, d’une main pour l’étaler sur son visage, ses fringues. Partout. T’as assez de force pour la retenir et l’empêcher de se barrer ailleurs. Petit corps de mouche face à tes gros bras quoi ! T’aurais du être Omega, le jaune te vas bien ! Le jaune de l’œuf qui s’aperçoit à peine sur son visage.. Elle est contre toi vos visages à quelques centimètres. Tes yeux la fixe pour scruter son les siens tout bleus eux aussi, un p’tit sourire et quelques ricanement s’en suivent. T’es magnifique enfaîte.. Enfin ton nouveau masque y est pour beaucoup ! Tu t’marres toujours plus en pinçant sa joue pour tirer dessus comme pour les bébés.

Ouais. Le rouge lui allait bien en teint. D’un côté, le rouge allait à tout le monde alors.. Alexandre était un sportif. Il avait sa place chez les alphas si seulement il ne s’était pas trompé de sport. Lacrosse, y’a que ça de vrai. Le football aussi c’est bien, hein. Mais vraiment, lacrosse c’est la vie ! Il t’entoure de ses bras, se redressant légèrement. Tu n’peux plus bouger, tu n’peux même pas te relever. Tu vois une de ses mains attraper ce qui traîne par terre et te l’étaler sur le visage. Oh, Dio mio ! T’aurais du être Omega, le jaune te vas bien ! Tu louches pour voir un peu de jaune d’œuf sur le bout de ton nez et t’éclate de rire. Tout ça est tellement ridicule. Le sang qui coule dans mes veines est rouge. J’suis une alpha mon gars, c’est comme ça. Puis t’arque un sourcil. Ca voulait rien dire c’que tu disais. Tout le monde a le sang rouge. Du coup tu ris de plus belle, toujours prise dans les bras d’Alexandre. T’es magnifique enfaîte.. Enfin ton nouveau masque y est pour beaucoup ! Le contact de sa main sur ta joue t’électrise. Comme il y a trois jours, sous la douche. Ton cœur bat plus vite, plus fort, ta respiration s’accélère. Tu te mordilles la lèvres et grimace : la farine c’est pas bon. Vos visages sont si près l’un de l’autre.. Boum boum, boum boum. Tu le repousse d’une main et te relève, sans trop de difficulté. Regarde dans quel état j’suis, cazzo ! T’es vraiment trop… RAAAGH ! Tu tapes du pied et part de l’autre côté de la cuisine, derrière quelques étagères. Calme toi Burton, ne penses plus à lui, ne repenses pas à ce que tu as vu sous la douche. Pourtant ton cœur ne se calme pas, la tension dans ton bas-ventre non plus. Tu ouvres un robinet de l’évier et prends un torchon pour te rincer le visage. Peut-être que ça, ça calmera tes ardeurs. Mais toujours pas…

PICCOLO PENE E PICCOLI SENI

Le sang qui coule dans mes veines est rouge. J’suis une alpha mon gars, c’est comme ça. Tu prends quelques secondes avant de te mettre à rire aussi, parce que bon, captain obvious à frappé du haut niveau là… Et puis t’es bien tenté d’en rajouter aussi. T’as pris son poignet pour regarder l’intérieur de celui ci. Tu vois, moi j’vois du bleu, pas du rouge. Les veines c’est bleu, le sang c’est rouge. C’est un signe ou un truc horrible ? Les deux. Elle se trouve contre toi, ta main sur son visage qui continue d’étaler cette pate visqueuse et dégelasse. Elle va avoir des boutons demain la p’tite. Et toi tu pourras bien en rire. Son visage en face de tiens, tu la lâche pas d’une semaine, tes yeux la fixe, la scrute, sans répits. C’est étrange et angoissant.. Vraiment. Elle coupe court à ce moment en se relevant pour râler de plus belle. Regarde dans quel état j’suis, cazzo ! T’es vraiment trop… RAAAGH ! Elle se barre un peu plus loin à l’évier pour essayer de se nettoyer, du mieux qu’elle peut à mon avis. Tu te relèves sans grande difficulté, le cul tout mouillé à cause de lait, tout sale, encore une fois. Tu t’avances vers elle et sans réfléchir tu attrapes son chiffon avant d’avancer devant elle en la forçant à reculer aussi, une main dans le creux de son cou, sous sa mâchoire, elle se retrouve dos eu mur, ton souffle sur ses lèvres. Avant tu comprennes ce que t’es entrain de faire, t’as lâché ton chiffon au sol en glissant tes lèvres sur les siennes au même moment. Tu glisses tes mains sous ses cuisses en te penchant légèrement pour la surélever contre le mur, contre toi. A la hauteur de ton bassin. Maintenant vous êtes à la même hauteur, et tes lèvres son toujours sous son emprise.

Alexandre s’empare de ton poignet et l’observe comme s’il s’agissait d’un objet rare. Tu vois, moi j’vois du bleu, pas du rouge. Ca, plus le contact de sa main sur ta joue, s’en ai trop pour le petit bout de femme d’un mètre cinquante-neuf que tu es. Sérieux, ton cœur a la même taille que celui d’un oiseau, ou d’un lapin ! Si y’a trop d’émotions d’un coup, il explose. Et là, y’a trop émotions. A la fois concentrée dans ton cœur et dans ton bas ventre. Tu ne peux pas rester comme ça, tu peux ne pas rester là à devenir faible. Alors tu râles pour détourner l’attention. Tu t’enfuie de l’autre côté de la cuisine et passe un chiffon sous l’eau pour te débarbouiller. L’eau froide te calmera surement. Le chiffon dans tes mains disparait. Tu lèves la tête et c’est Alexandre qui l’a dans les mains. Il le laisse tomber et t’attrape par le cou. Il va t’étrangler, tu vas mourir. Au lieu de ça, il te coince contre le pur et te viole les lèvres. Est-ce vraiment un viol quand vous en rêvez depuis des jours entier ? Une main sous tes fesses, il te soulève. Tes fines jambes entourent sa taille et ta langue part à la rencontre sa la sienne. Questo è stupido ! ronronnes-tu en quittant ses lèvres un cours instant. Ma continua.. dis-tu en passant tes mains dans ses cheveux remplis de pépins de tomates.

PICCOLO PENE E PICCOLI SENI

Tu l’embrasses. Comme si tu pouvais t’embrasser toi même. T’as pas réussi à la tentation de le faire.. Depuis l’autre jour que t’en crevais d’envie secrètement. Tu ne pouvais pas te l’avouer lui dire, ou même te le dire à toi même. Parce que la.. Tu réalises même pas ce que t’es entrain de faire. Tes mains ses sous fesses son dos contre le mur et ton corps contre le sien. Vos langues qui se mettent à danser d’un tango endiablé comme jamais t’aurais pensé savoir le danser. Tu continus, tu la lâches pas.. Enfaîte tu veux pas que ca s’arrête. Toi t’adores ça. Elle rompt quand même ce moment si étrange pour parler sa langue que tu connais pas.. Mais que tu comprends. Elle passe une main dans tes cheveux, vos lèvres ont coupées tout contant contrairement à ton regard qui la fixe, un sourire sur tes douces lèvres. Tu glisses ta tête dans le creux de son cou pour déposer de multiples baisés le long de celui ci.. Tes mains s’agrippent un peu plus sur le tissu de son jean. Qu’est ce qu’on est entrain d’faire là ?

Ses lèvres te dévorent, littéralement. Tu n’es plus qu’un petit corps brûlant de désir dans les bras de cet homme que tu détestes, rappelons-le. Peut-être que la haine est un fantasme, après tout ? Ou peut-être était-ce seulement parce qu’après ce que t’avais vu sous les douche, tu voulais savoir s’il savait s’en servir. Oh, doucement poupée, t’es juste entrain de l’embrasser. Goulument, mais t’as encore tous tes vêtements quand même ! Qu’est ce qu’on est entrain d’faire là ? S’embrasser ? Se violer la bouche, plutôt. Tes mains passent des cheveux du garçon jusqu’au bas de son tee-shirt. Elles glissent en dessous et découvrent ses abdos parfaitement sculptés. Tu les devines, woaaw. On déraille.. souffles-tu en tirant son tee-shirt vers le haut pour t’en débarasser. Gagagaaaa, il était trop bien fouttu ce con !

PICCOLO PENE E PICCOLI SENI

On déraille. Oh putain oui vous déraillez, tu la laisse te retirer ton t-shirt et toi tu continue de bouffer littéralement son cou au même passage. Ton beau t-shirt givenchy qui fini par terre dans le crade le tout moche que vous avez foutu partout parterre. Mais bon pour le coup tu t’en fou, tu le regarde juste tombé en sourire aux lèvres, parce que sur le cou, tu t’en fou complètement.. Tu la décolle du mur en gardant tes mains de sous ses fesses, t’essais d’avancer dans la cuisine avec elle accroché à toi tel un panda collé contre ton corps tout musclé. T’as tout poussé du plan de travail d’un bras pour la déposer dessus en continuant d’avoir ton emprise sur ses lèvres délicates. Tes mains se glisses sur elle, ses cuisses, sa taille… Puis tu t’arrêtes un instant. Tu quittes ses lèvres pour baisser la tête et te reculer. Non.. C’est trop bizarre.. Enfin.. J’a trop de respect pour toi pour coucher avec toi.. Et surtout comme ça ! Tas ricané en regardant autour de toi. T’as bien dit que t’avais du respect merde. Ha j’ai envie, si tu savais mais…

Torse nu, Alexandre t’aggripes un peu plus les fesses et se déplace dans les cuisines. Tu n’sais pas où il va, trop perdue contre sa bouche. Une de ses mains te quitte pour faire, si on en croit tout ce qui tombe au sol, un peu de place sur le plan de travail où il t’installe. Non.. C’est trop bizarre.. Enfin.. J’a trop de respect pour toi pour coucher avec toi.. Et surtout comme ça ! Quoiiiiii ? Alors il arrête là, il te laisse comme ça sur ta faim ? Non mais c’est mort, la machine est lancée là, il peut pas t’faire ça, respect ou pas respect. D’ailleurs c’était quoi cette excuse, personne t’avais jamais dit ça. Le souffle saccadé, tu ressers un peu plus tes jambes autour de sa taille. Comme ça.. ici ? demandes-tu en arquant un sourcil. Toi tu trouvais ça plutôt excitant, très très excitant d’ailleurs. Ha j’ai envie, si tu savais mais… Voilà des paroles qui te rassurent quand même. Tu poses tes mains sur ton cou et l’attire contre tes lèvres, déposant de ridicules baisers dessus à mesure que tu parles. Mais quoi ? T’as peur de pas être à la hauteur avec moi ? Tu pouvais être très très malicieuse quand on parlait de plaisir. T’étais pas une fille à mec pourtant.. mais les rares fois où ça t’arrivais, tu devenais une toute autre femme.

PICCOLO PENE E PICCOLI SENI

Non pas que tu crèves d’envie de la déshabiller, de gouter à chaque petites particule de sa peau si douce.. Nan, t’en a tellement envie, mais c’est pas n’importe qu’elle fille elle. Dans un un sens elle te fait même peur de cette gonzesse. Mais quoi ? T’as peur de pas être à la hauteur avec moi ? Tu vas pas lui dire oui, ca serait la fin de ta vie sociale après ça mais la déjà, t’es pas très bien dans ta peau, face à elle, après l’avoir goulument embrassé comme un Dieu grec. Elle continue de déposer ses lèvres contre ta peau, t’en frissonnes même ! T’as main s’est avancée à son visage pour attraper les deux côté de sa mâchoire pour qu’elle te regarde, toi, tes beaux yeux bleus et ton sourire de tombeur. Imagine après j’te rends accroc à moi.. Comment tu vas faire hein ? T’as ricané en déposant un baisé sur ses lèvres avant de continuer à parler. Imagine que ca ce passe super mal et que après on doit s’le remémorer en se voyant… Parce que j’te rappelle p’tite Bambi.. On se voit quasi tous les jours ! T’as juste peur de faire le faible après, face à elle.

D’une main il t’attrape la mâchoire, te forçant à le regarder dans les yeux. Graouw, ton cœur s’emballe. Mais qu’est-ce qu’il attend ? Imagine après j’te rends accroc à moi.. Comment tu vas faire hein ? Son rire est communicatif au moment où il dépose ses lèvres sur les tiennes. Y’a pas de risque, tu m’énerves tellement ! dis-tu en levant les yeux au ciel. Même là, la preuve, il trouvait le moyen de gâcher un bon moment. Imagine que ca ce passe super mal et que après on doit s’le remémorer en se voyant… Parce que j’te rappelle p’tite Bambi.. On se voit quasi tous les jours ! Super mal ? Attendez, Rosenbach ne serait donc pas le bon coup dont tout le monde parle ? Il n’aurait colporté que des mensonges. Et puis si ça se trouve, il est encore puceau l’Alexandre. Ohlalalalaaa ! Ma.. Pourquoi ça s’passerait mal Rosenbach ? demandes-tu en arquant un sourcil. Ou alors, il n’avait pas envie de toi et cherchait milles et une excuses pour s’en sortir. Oh.. en fait, t’as pas envie d’moi.. dis-tu en baissant la tête, la mine déçue.

PICCOLO PENE E PICCOLI SENI

Y’a pas de risque, tu m’énerves tellement ! Ca t’y crois pas vraiment maintenant. C’est bien ca qui te fais chier finalement. Toi tu te connais tu sais que si tu passes le cap supérieur et que vous faites ce que vous avez à faire sur ce plan de d’travail, dans cette cuisine tu la verra plus pareil, et tu veux pas gâcher cette image de blondasse qui t’énerves, pourtant elle, elle semble vraiment chaud patate.. Y’a pas de soucis !  Tu continues de voler ses lèvres de cours instants. Ma.. Pourquoi ça s’passerait mal Rosenbach ? Tu sais même pas toi même.. T’as jamais eu de soucis, pourquoi t’en aurais un maintenant hein ? Comme ça, maintenant, avec elle, tout sauf la fille qu’il faut pardis. Tu t’fous la pression pour rien c’est sur.   Oh.. en fait, t’as pas envie d’moi.. T’as lâché un petit ricanement en relevant son visage avec le dos de ta main. J’crois que j’ai plus envie d’toi que n’importe quelle autre fille. C’est étrange.. Non vraiment. Mais enfaîte c’est presque vrai. C’est l’inconnu et l’inattendu. Tellement que ca te fait flipper. Tu glisses tes mains le long de sa taille pour attraper le bout de son t-shirt pour le relever vers le haut et lui retirer complètement. On peut vite zapper l’étage de déshabillage, j’crois que ca on sait déjà à quoi s’attendre non ? Tu t’es marré e glissant cette fois ci tes mains derrière son dos, es lèvres qui déposent des baisés le long de son épaule. D’un coup de doigts son soutien-gorge est dégrafé. On garde tout ça secret encore, hein ? Pour pas changer hein, faudrait pas que quelqu’un se doute de quoi que ce soit non ?