Venir étudier dans cette université n'a pas réellement été un choix pour toi. Il faut dire que tes deux parents y ont étudiés avant toi et que c'est grâce à cette école qu'ils se sont connus et qu'ils t'ont donnés la vie. Oh, bien entendu, si tu leur avais tenue tête encore un moment avant d'envoyer ta candidature, ils auraient très certainement cédés à ton caprice et tu aurais fais tes études où bon te semblaient, mais voilà, ce n'était pas réellement ton genre à l'époque. De plus, en voyant le regard brillant de ta mère quand elle te parlait de ses études et des photos qu'elle te mettait sans cesse sous le nez, tu ne voyais pas comment leur faire plaisir. Au moins, ils te laissaient le choix du cursus que tu voulais suivre, c'était déjà ça. Dès que tu as reçu la feuille annonçant que tu étais prise au sein de l'établissement, se ne fut que cris de joie et larmes, parce que bien entendu ils étaient fiers de toi, fiers de voir que tu suivais le même chemin qu'eux. A leurs paroles, c'était le plus beau jour de leur vie, encore plus beau que le jour de leur mariage ou de leur rencontre. Cela te mettait très mal à l'aise, surtout qu'ils le criaient sur tout les toits, mais tu étais quand même très contente de le faire plaisir, même si au fond de toi, tu savais que ce n'était pas la première université que tu avais choisis en faisant ton choix.

Les premières années de ta scolarité se passèrent très bien, tu avais d'excellentes notes ça et sans réellement réviser, ce qui ne t'avaient pas amenés que des amis, bien au contraire, mais tu t'en fichais. Tu avais un but dans la vie et tu comptais bien y arriver, que se soit avec l'aide d'amis ou avec l'aide de tes ennemis, parce que pour toi, avoir des ennemis est une force et grâce à eux, tu as encore plus envie de réussir. En ce qui concernent les garçons, se ne sont pas réellement ta priorité, ce qui fait doucement sourire le monde qui t'entoure parce qu'à cause de ta fraternité, tout le monde pense que tu es le genre de fille très facile, qui aiment les mecs sans cervelles et qui n'hésitent pas à se servir de son corps pour séduire. Malheureusement, ce n'est pas du tout ton cas et la gente masculine l'a très vite remarqué et tu as la pire étiquette que tu pouvais avoir dans ta fraternité, celle de la saint ni touche, celle qui enflamme sans jamais allée au bout.

Tes parent suivent de très près des études et encore plus depuis que ta petite soeur Bambi à rejoint l'université. Depuis qu'elle a mis les pieds sur le campus, tu la protèges encore plus qu'avant, ce qui ne lui plait pas réellement, mais qui soulage tes parents d'un poids et ils te le disent régulièrement. En fait, tu la surveilles surtout à cause des garçons qui lui tournent parce que ta petite soeur est plus que séduisante et que tu n'as donc pas envie qu'elle souffre pour rien, surtout qu'elle a le temps pour trouver l'homme de ses rêves. Néanmoins, tu es aux anges de ne plus être la seule Burton dans l'établissement, parce que tu en avais vraiment marre que tout le monde te compare à tes parents. De plus, tu t'es toujours très bien entendu avec ta petite soeur et tu es certaine de toujours pouvoir compter sur elle en cas de besoin.